ï»żRegardezla sĂ©rie En sortant de l'Ă©cole : J'ai tant rĂȘvĂ© de toi que tu perds ta rĂ©alitĂ©, l'horizon et l'amour. DĂ©but du contenu principal. En sortant de l'Ă©cole. Une collection de courts-mĂ©trage d'animation dĂ©diĂ©e Ă  la poĂ©sie. A Ajuster la taille du texte - 100% A Ajuster la taille du texte - 150% A Ajuster la taille du texte - 200%. Partager. Partager cette page. Ajouter En
À propos du blog FrĂšres humains, le monde est Ă  l’arrĂȘt, soyons maintenant cardiaques, amoureux, fous, vivants/vibrants plus que jamais ! Nous allons sortir de cette impasse pour faire face Ă  l’inconnu. Ah, l’inconnu !
 Le dĂ©fi est aussi immense que la PlanĂšte, aussi immense que le monde de chacune et de chacun. Au niveau de la revue, nous sommes lĂ , confinĂ©s Ă  Ă©crire, Ă  effacer nos petits plans, nos agendas, une situation qui nous oblige Ă  ĂȘtre Ă©lastiques pour rebondir autrement sans casser l’élan premier. Nous avons remis la sortie du prochain IntranQu'ĂźllitĂ©s Ă  septembre 2020, l’heure dĂ©rĂ©glĂ©e oblige. On fĂȘtera en beautĂ© cette sortie, si le dĂ©confinement tient toutes ses promesses. Tiens, le dĂ©confinement, comme convalescence ou remise sur pied, ça se prĂ©pare. On risque d’avoir un choc culturel dans un Nouveau Monde sous condition. On peut attraper la fiĂšvre dans l’incendie d’un regard qui nous a trop manquĂ©s. Pour amortir le choc, nous vous offrons le numĂ©ro 4, MANIFESTE POUR UN NOUVEAU MONDE, en accĂšs libre ici Plus de 150 contributeurs sur une quarantaine de pays. Pour participer Ă  la campagne IntranQu'ĂźllitĂ©s et en savoir plus, cliquez ici La plupart des pays n’en sont qu’au dĂ©but du confinement, c’est le cas de notre terre, HaĂŻti, ce numĂ©ro-manifeste pourra aider Ă  restituer Ă  la pendule ses menus battements de cƓur, pour rendre vibrant le temps. IntranQu'ĂźllitĂ©s de septembre sera axĂ©/dĂ©saxĂ© sur l'Éros, thĂšme que nous caressons depuis quelques annĂ©es. Le confinement nous met dans tous nos Ă©tats, nous avons envie de tout livrer, tout rĂ©vĂ©ler sans garder une miette d'Ă©toile dans ce rĂȘve de nuit et de jour chaud-bouillant, mais nous fourbissons nos Ăąmes au tranchant de cette heure inĂ©dite. La magie prendra corps vĂ©ritablement en septembre. En attendant, recevez en primeur et en piment notre menu signĂ© Diego Gary, IfĂ© Day, Hans Limon, Ernest Pignon-Ernest, Mafalda Mondestin et votre serviteur James NoĂ«l Le jardin fusible J’ai fait l’amour Ă  des milliards de questions
 Du bout de la langue J’ai caressĂ© autant de clitoris Que je pouvais rĂȘver le tien. Aujourd’hui, Rendu Ă  la solitude, Mon lit est un prĂ©cipice Et je me tiens prĂȘt Ă  plonger Chaque nuit. Ne pouvant me rĂ©fugier Dans tes bras interdits Je peine en claudiquant Dans l’existence Ivre de me donner, D’aller Ă  l’Avant De ce qui me tient lieu de moi, Ce jardin fusible inconnu. Je vis par l’alternance. Entre la nuit du prĂ©cipice Et le jour aveugle Dans le merry go round de l’angoisse De la perte du soi, Cet inconnu, Dans l’égarement du je, C’est importun. Me reste le Ça qui me repousse Ă  ma pulsion de vivre A mon existence de chien battu Qui rogne sa blessure, Qui la lape Comme s’il s’en nourrissait. Et qui survit en aboyant Ă  la lune Comme j’écris dans la marge du noir ciel Ă©toilĂ©. J’écris en bordure de l’univers Mais peut-ĂȘtre devrais-je Ă©crire En bordure de toi Noir sur noir, dans le silence sidĂ©ral du firmament Certain ainsi de ne jamais ĂȘtre lu, ni entendu. De ne jamais avoir rien dit. De n’avoir jamais avouĂ© quoi que ce soit. Être demeurĂ© invisible. Diaphane. Une vie de coquelicot. Diego Gary Physiologie sanguine Elle a vu ses rĂšgles et craint maintenant le suicide qui viendrait pendant des jours et des jours. AmusĂ©e de l'effet que ça fait, elle prĂ©fĂšre ne pas imaginer son reste. Sans courir, ne rien cacher de son coup de sang. Son pantalon bleu jeans n'est pas tachĂ©, mais ses mains, sa chatte et sa tĂȘte. Le bruit de ses eaux, ça entre, ça entre de par tous les trous. Ben ouais. Elle finira par ne pas se rendre. Elle s'en fout maintenant des cuisses de ces autresses qui paraissent toujours si propres. BandĂ©e, dĂ©bandĂ©e, sa poitrine bat la mesure difficile. Trouves-y un refrain pour ça. Des fois ça lui fait peur, perd de son estime, et se demande bien pourquoi, suer suer, c'est pas comme si on l'aidait parfois Ă  aller mieux. Le dĂ©sert total alors qu'elle dĂ©gouline, ça paraĂźt facile et futile, mais pas plus de trois Le conte de fĂ©es s'est un peu penchĂ©, bon il n'y a jamais de parrain. Faut pas trop demander. Et succomber aux petits cons qui demandent et qui insistent, elle laissera sa taille basse directe tout en sachant qu’ils ne feront pas le poids. Elle pĂšse lourd. Plus que quelques jours sans que du dehors on ne lui jette des sorts. IfĂ© Day LE TATOUAGE Ma tendre brune, Ă©prise et prise et fendue, ma langue de feu follet piĂ©tinant bas les sentiers de ma forĂȘt dĂ©boisĂ©e, tu m’as demandĂ©-suppliĂ© de nous Ă©crire, de figer pour toujours ce combat perpĂ©tuel du lundi soir, entre deux murs, alors je dĂ©cris, je t’écris, je te couche et t’exauce, jusqu’aux pudeurs pulvĂ©risĂ©es, je souille d’encre noire les spirales de mes folles circonvolutions. Ce tatouage recouvrant ton bras droit m’a tout de suite excitĂ©, ce dragon venimeux surmontĂ© d’une rose aux pĂ©tales enflammĂ©s, sur fond de ciel mortuaire oĂč, nonchalant, brillait par gerbes profanĂ©es l’orbe statique d’un astre vif, comme un dĂ©bris de soleil, sans doute voilĂ©, grignotĂ©, vĂ©rolĂ©, Ă  demi Ă©teint, sacrant dans sa dĂ©crĂ©pitude la lumiĂšre des temps nouveaux mais immĂ©moriaux, temps de sombreur et de malĂ©fices, de magie noire et de vertes amours, puis, inaccessible au regard, dans le repli du coude, ce Picasso pop, cette femme-kalĂ©idoscope souriant d’une joie funĂšbre, les cheveux noirs, plaquĂ©s, cet autre Toi, dense et profonde et secrĂšte, ce fac-similĂ© de Laure exorcisant toutes les identitĂ©s possibles, et jusqu’à ta prĂ©sence incendiaire de flambeau sexuĂ©. Le cubisme Ă©clate et fragmente la vision pour mieux reconstituer l’idĂ©e, la parfaire, l’envisager, l’absorber malgrĂ© la dispersion des perceptions, la divergence des points de vue, la versatilitĂ© cynique des parallaxes. Tu es cette sorciĂšre Ă  rose fanĂ©e, Ă  gueule cassĂ©e, chassant les fleurs rescapĂ©es, pachalesquement juchĂ©e sur les chatoyantes Ă©cailles d’un hippogriffe haletant, surpuissant, crachant la tourbe et le feu de tes malĂ©dictions, dans ta cuirasse de peau blanche, nue comme l’innocence et la virginitĂ©, colossale de beautĂ© furieuse, prĂȘte Ă  cingler dans l’emportement de ta rage les dieux penchĂ©s sur les nuages, car tu es la maĂźtresse de ces lieux, car ce corps est ton corps. Quelques mots soupirĂ©s, depuis longtemps, dĂ©jĂ , plus vieux que nos souvenirs du moment, puis quelques phrases maladroitement formulĂ©es, bribes de logorrhĂ©e titubante et oiseuse, morceaux de sens virevoltant d’une haleine Ă  l’autre, puis ces brisants de grammaire au coin d’une page de magazine dix chiffres, une date, un lieu. SĂ©duction moderne. Tu portais ce jean moulant qui m’avait dĂ©jĂ  largement conquis, ce jean de la premiĂšre fois », brut et serrĂ©, couverture cĂ©rulĂ©enne de ta nuditĂ© divine, comme si de sa conque Ă©chappĂ©e la diaphane Aphrodite avait Ă©gayĂ© son corps diamantaire d’une robe de flots miroitants. Sur le ressac de tes cuisses flottait le saule pleureur de tes cheveux bruns, roux, blonds, cuivrĂ©s, sans Ăąge, et ta veste noire semblait tracer, dans ce tohu-bohu de couleurs, de senteurs et de formes, la sinistre Ă©querre d’un Ă©chafaud pourfendeur de plaisirs connaissant tes charmes et ta faiblesse, tu gardais la distance et mĂ©nageais tes appas. Femme fractale. AppuyĂ©e contre le chambranle de la porte d’entrĂ©e, non loin des poubelles jaunes et grises, fleur de printemps prisonniĂšre d’un corset de lierres, fraĂźche nomade affublĂ©e d’un carcan disgracieux, tu n’attendais que mon approbation, un geste, un signe, un mot de ma part et, dans ma torpeur imbĂ©cile, plongĂ© sous tes vĂȘtements, je ne voyais que ton tatouage, ce dragon, cette rose, cette millĂ©naire enchanteresse et je te considĂ©rais, Laure, avec l’ébahissement du novice qui s’apprĂȘte Ă  franchir le seuil du miracle. Épaules offertes, enfin, chignon dĂ©fait, torrent de lave au grĂ© des sillons Ă©pidermiques, pluie de comĂštes effilĂ©es ! Que dire de cette noirceur Ă©talĂ©e sur le galbe de ton ĂȘtre frĂ©missant, sur la rondeur gĂ©mellaire de tes seins, perdus sous les vagues de feu capillaire comme de pĂąles rochers, ennemis des embarcations, marchepieds des visions dansantes, sur la rectitude agitĂ©e de ces deux balises marines, aurĂ©olĂ©es de nappes phrĂ©atiques embaumĂ©es ? Que dire de ces deux globes nourriciers submergĂ©s du miel de ta criniĂšre, m’abreuvant, me nourrissant tour Ă  tour de sueur et de fiĂšvre incandescente, m’emplissant de vie, de sang, de souffle et de liquide amniotique, Ă  renaĂźtre sur ta bouche, dans tes mains, Ă  tes pieds, entre tes cuisses, boire Ă  la source et recommencer pour Ă©crire et revivre et recommencer, me gonfler de tes spasmes abandonnĂ©s, m’enduire de tes humeurs dĂ©mĂȘlĂ©es, mourir et ressusciter, en une heure, en une minute, et te nommer, pour toutes les vies, passĂ©es ou Ă  venir, prĂȘtresse tragique de mes dĂ©sirs, de mes dĂ©lits, de mes regrets. Tu n’es pas claustrophobe, loin s’en faut. Ta prĂ©sence pure suffit Ă  surpeupler tout un espace, un bar, une ruelle, un restaurant, un appartement, un cimetiĂšre Ă  ciel ouvert. Le dĂ©sert lui-mĂȘme croulerait sous le poids de tes ombres trĂ©pignantes. Tu n’habites pas, tu investis, tu envahis, tu annexes, tu occupes, Ă  l’intĂ©rieur comme Ă  l’extĂ©rieur. À ton passage, individus, spectres, meubles et dĂ©corations deviennent tes otages, les agents d’une soumission consentie, et ce petit bois que nous avons traversĂ©, main dans la main, prĂšs de la citadelle, n’est pour toi qu’une ceinture attachĂ©e Ă  tes flancs fĂ©conds. Mais tu exiges l’étroit, l’exigu, le resserrĂ©, le rĂ©duit, l’étouffant, tu veux poser ton crĂąne sur le mur du fond tout en appuyant tes mains sur le mur de face, dĂ©ployer ton envergure autour de ma nuque tremblante et t’agripper Ă  ma chair, mante religieuse alanguie, mĂ©crĂ©ante bĂ©nie des dieux. Un peu plus d’un mĂštre entre les deux parois blanches du couloir menant Ă  la salle de bain. Escarpe et contrescarpe. Tu t’effeuillais lentement, saule pleureur cramoisi d’automne ton pantalon, ta veste et le reste, jusqu’à l’écorce douce, bĂ©ante et, muette, face Ă  moi, les jambes Ă©cartĂ©es, le visage lĂ©gĂšrement tournĂ© vers la salle de bain, tu murmuras Alors ? » Ce fut tout. Et rien de moins. Dans mon impatience maladroite, j’oubliai le jour, l’heure, le lieu, les bruits, la biensĂ©ance, les prĂ©caires prĂ©cautions d’usage et, dans un long ronflement de soulagement peinĂ©, sans prĂ©venir, sans mĂȘme un mot, une caresse, un regard, je te pĂ©nĂ©trai violemment, jusqu’à te faire hurler, comme pour te faire marquer l’heure, mon heure, mes secousses martelaient sourdement le pan de mur couvert de crĂ©pi et loin, trĂšs loin, au-dessus de la basse geignarde, sous la spirale dĂ©chirĂ©e des cuivres, balbutiait le contrepoint des voitures et des bus parsemant le bitume grisĂątre. Je me fondais en toi, je m’enfouissais sous tes couches d’épiderme et tes muqueuses pour me perdre et me retrouver, je m’ancrais un peu plus en toi Ă  chaque nouvelle secousse, convaincu que, dĂ©sormais si pleine de moi, tu ne pourrais jamais plus m’oublier, je voyais tes seins magnifiques se tordre sous mes brusques Ă -coups, je les suçais, les mordillais, j’en parcourais de la langue toute la charnue circonfĂ©rence, j’explorais tout un monde, mon sexe au plus profond de toi, mes mains tenaillant tes fesses jusqu’au sang. Je te renversai sur le carrelage, Ă  la surface duquel tes flammĂšches dĂ©ployĂ©es dessinaient comme des scĂšnes de crimes non Ă©lucidĂ©es. Les secousses reprirent, s’intensifiĂšrent, ponctuĂ©es de baisers violents, d’aboiements doucereux. DisposĂ©e sur le sol comme un don propitiatoire, tu m’offris tes poignets, que je dĂ©cidai de maintenir avec une fermetĂ© ruisselante, et je pouvais t’observer, graver dans mon inconscient tes grimaces de plaisir, tes moues frustrĂ©es, tes souffrances passĂ©es sous silence, et je m’adaptais, en bon Ă©lĂšve, pour devenir en quelques minutes l’amant le plus accompli, celui qui devine et devance les dĂ©sirs de sa maĂźtresse. Les caresses lĂ©gĂšres se mĂȘlĂšrent aux pilonnages, les doux baisers aux rudes embrassades, je contemplais tes yeux courbĂ©s de mĂ©lancolie, ton cou si long et fin, comme un chemin de peau conduisant jusqu’à la caverne de ta bouche, large comme l’enfance, dissymĂ©trique, inĂ©gale comme nos songes dĂ©rĂ©alisants, tes cĂŽtes branchues, refuge Ă  bambins clandestins, ton nombril polymorphe, tantĂŽt lune sereine, tantĂŽt Saturne encerclĂ©e, planĂšte, satellite, Ă©clipse, ellipse, apocalypse de vie sectionnĂ©e, tes hanches frissonnantes, Ă©largies pour me laisser m’étaler, et dans mon dos, tes pieds, repliĂ©s sur eux-mĂȘmes, figurant tes voluptĂ©s tortueuses, tes doutes et tes malaises, et sur ton bras, cette sorciĂšre ailĂ©e, que je domptai d’un seul revers de main, de cette main que tu saisis tout Ă  coup. Je compris sur le champ. Hans Limon Ouroboros Les mains lavĂ©es dans l’huile de serpent J’écarte le cerce Eve enfin se remet Ă  rĂȘver de changer de chagrin et de peau entre mes bras qui scindent et qui ceinturent Ouroboros cobra boa Ă  l’infini depuis la nuit des temps la nuditĂ© des femmes pulpe d’orage les sauve de toute pelure de dĂ©faut voici ma coupe s’y coule l’huile et un beau serpent de rĂȘve rien que pour toi tiens-le bien il fouille te farfouille dans les zones secrĂštes farfouille et te fouine dans ton squelette magnĂ©tique anorexique Ô toi beautĂ© sainte en jarretelle pĂ©nĂ©trĂ©e par l’esprit mĂȘme de la forĂȘt fondue dans ton monde la misĂšre du monde me digĂšre comme un amour bĂȘte ah si bĂȘte la belle ruĂ©e vers toi l’or par l’éros qui me dĂ©fait pour te refaire me dĂ©verse pour te doter des yeux fontaines cette voix de gorge voici ma coupe et toute mes chutes mes sept pĂ©chĂ©s capitaux et tous mes crimes capillaires rien que pour toi Ève Ă©cartĂ©e ÉchevelĂ©e Rire aux Ă©clats femme jusqu’aux os excuse du peu du peu de moi si loin en toi nous sommes bouclĂ©s nƓuds circulaires cƓurs recyclĂ©s comme l’esprit mĂȘme de la forĂȘt James NoĂ«l
Cettenuit j'ai rĂȘvĂ© que la neige brĂ»lait et que le feu fondait, j'ai rĂȘvĂ© d'une chenille qui se transformait en un cheval noir jais et d'un moineau qui se changeait en phĂ©nix: j'ai rĂȘvĂ© de l'impossible; ce soir lĂ , j'ai rĂȘvĂ© que tu m'aimais. - Une citation de li-fe-s8. Paroles de la chanson J'ai encore rĂȘvĂ© de toi par Ogee J'ai encore rĂȘvĂ© de toi Cette nuit Les yeux plongĂ©s dans le noir Je fuis Les problĂšmes que j'ai au taff Aussi Mais surtout le fait qu'tu sois parti J'aimerai pouvoir dire au revoir Fini Mes rĂȘves, mes cauchemars Me suivent Entends-tu ma voix le soir Qui crie ? Ma voix pleine de dĂ©sespoir S'ennuie Mais chaque image que tu m'as laissĂ©e Me hante encore, tu emplis mes pensĂ©es D'un goĂ»t amer, un goĂ»t empoisonnĂ© D'un voile qui cache encore la vĂ©ritĂ© J'ai encore rĂȘvĂ© de nous ImprĂ©gnĂ© d'un amour fou Un rĂȘve dans tes bras je m'y plaisais Car l'amour sans toi, sans intĂ©rĂȘt J'ai encore rĂȘvĂ© de toi Mon sommeil dictait mes pas J'ai peur d'avancer quand t'es pas lĂ  Et peur d'ĂȘtre nue si c'est pas tes draps J'ai encore rĂȘvĂ© de toi Cette nuit J'criais Ă  en perdre la voix Du bruit Qui font rĂ©sonner mon crĂąne Ma vie Est dĂ©cousue et tombe dans Le vide Vide infini sans issue Je crois Que la douleur prend le dessus En moi Comme une bataille de perdue Sans toi Pourrais-je revenir au dĂ©but Une fois Mais chaque image que tu m'as laissĂ©e Me hante encore, tu emplis mes pensĂ©es D'un goĂ»t amer, un goĂ»t empoisonnĂ© D'un voile qui cache encore la vĂ©ritĂ© J'ai encore rĂȘvĂ© de nous ImprĂ©gnĂ© d'un amour fou Un rĂȘve dans tes bras je m'y plaisais Car l'amour sans toi, sans intĂ©rĂȘt J'ai encore rĂȘvĂ© de toi Mon sommeil dictait mes pas J'ai peur d'avancer quand t'es pas lĂ  Et peur d'ĂȘtre nue si c'est pas tes draps J'ai encore rĂȘvĂ© de toi Cette nuit Les yeux plongĂ©s dans le noir Je fuis Les problĂšmes que j'ai au taff Aussi Mais surtout le fait qu'tu sois parti

Jai rĂȘvĂ© de toi. Recueil : Les sonnets et poĂ©sies (1851) Je t'ai revue, toi, en rĂȘve cette nuit, FraĂźche au milieu de fleurs toutes fanĂ©es, Comme au printemps de nos vertes annĂ©es ; Tes pas lĂ©gers ne faisaient aucun bruit. Tu Ă©tais lĂ  comme au beau temps qui fuit,

Paroles de la chanson J'ai RĂȘvĂ© par Richard Anthony J’ai rĂȘvĂ© cette nuit mĂȘme Que tu me disais Je t’aime» J’ai besoin d’un amour tendre Viens, ne me fais plus attendre Oh, dis-moi, oui toi, pourquoi Crois-moi, sans amour, rien ne va plus Et j’ai tant besoin de toi J’ai rĂȘvĂ© gloire et fortune Je voulais t’offrir la lune Je n’ai plus la moindre chance Sans ton amour, ta prĂ©sence Oh, dis-moi, oui toi, pourquoi Crois-moi, sans amour, rien ne va plus Et j’ai tant besoin de toi Et dans ma solitude Au creux de mon ennui J’ai perdu l’habitude Reviens, je t’en supplie Si tu voyais ma dĂ©tresse Sans toi, rien ne m’intĂ©resse Les jours et les nuits se traĂźnent Reviens car j’ai l’ñme en peine Oh, dis-moi, oui toi, pourquoi Crois-moi, sans amour, rien ne va plus Et j’ai tant besoin de toi Dream lover until the end I go to sleep and dream again That's the only thing to do Till all my lover's dreams come true Cause I want a girl to call my own I want a dream lover So I don't have to dream alone Dream alone Dream alone
Chansonécrite par : Emilie F (Ilimey)instru :
To add entries to your own vocabulary, become a member of Reverso community or login if you are already a member. It's easy and only takes a few seconds rĂȘvĂ© , e adj [endroit, mari] ideal, dream modif l'endroit rĂȘvĂ© pour qch a dream location for sth l'endroit rĂȘvĂ© pour faire qch a dream location for doing sth rĂȘve nm =songe dream rĂȘve Ă©veillĂ© daydreaming no pl , daydream paysage de rĂȘve dreamlike landscape des vacances de rĂȘve dream holidays activitĂ© psychique le rĂȘve dreaming Translation French - English Collins Dictionary

Jai tant rĂȘvĂ© de toi Par cette chaude nuit d'Ă©tĂ©, toutes les fenĂȘtres Ă©taient ouvertes dans le somptueux manoir qui bordait le petit lac Swan au Pays de Galle. Une fĂȘte semblait y ĂȘtre donnĂ©e et la chaleur avait forcĂ© les invitĂ©s Ă  se rĂ©fugier dans le jardin, le lac apportant une dose de fraĂźcheur. Pourtant, une belle jeune fille aux longs cheveux chĂątains et en robe de

PubliĂ© le 11 octobre 2020 dans Absurde Je suis dans un endroit inconnu et deux personnes veulent ma faire exprĂšs, j’en tue un, je suis dĂ©vastĂ©e, c’est une erreur, je n’ai pas pu faire une chose pareille !Je prends le corps dans mes bras et je vais trouver un endroit isolĂ© pour l’ mon retour, les flics sont discutent, ils ont trouvĂ© mon matelas
.L’un demande Ă  l’autre Tu trouves que ce matelas vaut 50 millions toi ? »L’autre rĂ©pond CarrĂ©ment pas. »Et moi, je ris!S’ils savaient ces imbĂ©ciles
 RĂȘvĂ© le 11 octobre 2020 Par CĂ©cile
Cettenuit, j’ai rĂȘvĂ© de toi Je te voyais juste lĂ , devant moi, dans ton petit logement. Tu portais ton tablier et prĂ©parais un bon cafĂ© noir pour nous deux. Je t’ai demandĂ© si je pouvais te prendre dans mes bras. Tu as acceptĂ© avec Ă©tonnement. Je t’ai enlacĂ©. J’ai senti ton parfum si rĂ©confortant. J’ai touchĂ© ta peau douce et tes cheveux bouclĂ©s.
Au milieu de rĂȘves par millions Surgi comme un torrent Au dĂ©but du printemps C'est quand on ne les attend plus Que sourient les cƓurs perdus Ton sourire Ă  toi Plus tout Ă  fait identique Ni dĂ©jĂ  diffĂ©rent Flottait sur les toits Pareil aux parfums statiques Qu'on encense enfant. Cette nuit ou ce matin C'est trĂšs incertain J'ai rĂȘvĂ© de toi Tu Ă©tais lĂ  Tu avais percĂ© sans bruit Comme un funambule Les filtres de ma nuit Pour te poser en libellule. Puis tu as parlĂ© Les monstres et les fĂ©es Ont signĂ© une trĂȘve Dans mes bois sans sĂšve. Cette nuit ou ce matin Je n'en sais rien J'ai tendu l'oreille Comme on tend l'Ă©cuelle Vers ces mots qui me manquent tant, Vers ce timbre qui envoie tes lettres, Puis tout s'est rallumĂ© plein d'allant Et tu as rejoint tes miettes. Mais cette nuit ou ce matin C'est certain, Tu Ă©tais lĂ  Comme autrefois.
Cettenuit j'ai rĂȘvĂ© de TOI, Et ce n'Ă©tait pas la premiĂšre fois. J'ai rĂȘvĂ© que tu m'embrassais Et que tu m'aimais. Tu me tenais la main Comme tu le faisais si bien, Nous Ă©tions ensemble, Dans l'endroit oĂč il me semble, Nous avons Ă©changĂ© notre premier baiser. Nous parlions de tout et de rien Comme nous le faisions si bien, Puis lĂ , mon rĂ©veil a
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