Jene vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père. Romains 7:19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Galates 5:17 Car la chair a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit en a de contraires
Vous pensiez le connaître sur le bout des doigts, et pourtant il ne vous a pas encore dit tous ses secrets. La preuve par 8. 1- Il y a peu de chances que votre homme soit en mesure de se pratiquer une fellation à chances sur mille environ, selon Alfred Kinsey, pionnier de la recherche sur la sexualité et père de la révolution sexuelle. L’autofellation laisse donc environ 997 hommes sur 1 000 sur le carreau, en raison de la prouesse physique que la position requiert, mais pas que. Si les chiffres restent obscurs sur la question, le nombre d’hommes rêvant de se sucer eux-mêmes reste restreint. Quant au poète italien Gabriele d’Annunzio, il se serait fait retirer un os pour y parvenir… 2- La nuit, je ce stade, on se doute qu’on ne vous apprend pas grand-chose. Mais saviez-vous que ces érections nocturnes involontaires et inconscientes ont pour objectif d’oxygéner la verge pour la nourrir ? En moyenne, elles surviennent trois fois par nuit, pour une durée d’érection d’une heure au total. Et si le pénis est toujours au garde-à-vous le matin, votre tenue affriolante et votre haleine de rêve n’y sont pas forcément pour quelque chose, c’est juste que le réveil est intervenu pendant une phase de sommeil paradoxal. Au terme gaule matinale », Victor Hugo préférait celui de matin triomphant », que l’on trouve en effet un peu plus élégant, quoiqu’un chouia prétentieux. 3- Le vôtre est plus grand que le ce n’est pas la taille qui compte, sachez que votre clitoris est un poil plus long que son pénis, dont la moyenne est de 9 cm environ au repos. La partie visible du clitoris n’est que de 0,5 à 1 cm, mais sa tige, située à la suite de votre gland oui, c’est comme ça que ça s’appelle, mesure jusqu’à 10 cm, formant un coude semblable à un V » inversé. 4- Le corps considère que le pénis n’est pas est même programmé pour le laisser un peu sur la touche en cas de péril. Explication en situation de danger – froid intense par exemple –, un système de défense naturel se met en place le corps protège ses organes vitaux cœur et cerveau en maintenant une bonne irrigation du sang permettant de conserver leur chaleur. Les organes considérés comme périphériques » sont laissés en rade. C’est le cas des pieds, des mains ou encore des oreilles chez la femme… Et du pénis, chez l’homme. D’où le raccourcissement de sa taille en immersion dans une eau gelée en Bretagne le 15 août par exemple, par un phénomène de vasoconstriction ». Paragraphe déconseillé aux pénis susceptibles. 5- Les testicules produisent des dizaines de millions de spermatozoïdes par d’une éjaculation, qui correspond à peu près à 3 millilitres de sperme, sont libérés entre 20… et 150 millions de spermatozoïdes ça en fait des Scenic. Ça semble énorme, mais s’il y en a un qui doit trouver nos hommes bien petits joueurs c’est le mérion superbe », petit oiseau d’Australie pour lui c’est plus de l’ordre de 8 milliards de spermatozoïdes à chaque fois. Une profusion qui serait liée, selon les chercheurs, au comportement sexuel très libéré des femelles, qui exacerberait la compétition entre spermatozoïdes. C’est mignon 6- Les spermatozoïdes sortent à 45km/h… Au moment de l’éjaculation. Pour vous donner une idée, il s’agit à peu près de la vitesse à laquelle vous roulez en ville. Pensez-y la prochaine fois que vous ralentirez au niveau d’un passage clouté, en imaginant qu’à ce moment précis vous pourriez vous faire doubler par une nuée de spermatozoïdes. 7- Les testicules ont dans la grande majorité des cas une légère différence de hauteur. Concrètement, l’un pend un peu plus que l’autre, petit cadeau de Dame Nature pour éviter qu’ils ne s’entrechoquent. Dommage qu’elle n’ait pas pensé à faire la même chose pour nos seins Ne cherchez pas le rapport, il est un peu tiré par les cheveux. Chez deux hommes sur trois, c’est le testicule droit qui prend le dessus. 8- Il y aurait un rapport entre la taille du sexe et celle des mains. C’est ce qu’affirment des chercheurs coréens dans une étude publié dans le très sérieux Asian Journal of Andrology ». Plus précisément, le rapport résiderait dans l’écart existant entre la taille de l’index et celle de l’annulaire. Plus cet écart serait important, plus le pénis serait grand. Inversement, moins la différence de taille serait marquée, plus le sexe serait petit. D’autres études avaient déjà établi une corrélation entre ces éléments, expliquant qu’au stade fœtal, le développement des doigts et celui des organes sexuels étaient développés par les mêmes gènes. Les vérifications sont libres, le résultat non certifié…
Matthieu12 6 Or, je vous le dis, il y a ici quelque chose de plus grand que le temple. 7 Si vous saviez ce que signifie: Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices, vous n'auriez pas condamné des innocents. 8 Car le Fils de l'homme est maître du sabbat.
Un article récent du quotidien français Le Monde parle d’une étude aux conclusions impressionnantes ». À sa lecture, il y a de quoi être inquiet puisque cela semble en effet très sérieux. Signée par des chercheurs rattachés à l’École de santé publique d’une université prestigieuse, Harvard, cette étude s’appuie sur un grand nombre de données 146 000 personnes ont été suivies pendant 20 ans. Elle a été publiée en janvier dernier dans une revue savante plutôt bien cotée. Et elle met en doute l’un des principes nutritionnels généralement admis il faut manger beaucoup de fruits et légumes pour être en bonne santé. Après avoir analysé leurs données, les chercheurs affirment avoir constaté que consommer chaque jour quatre portions de fruits et légumes reconnus comme étant rarement contaminés par des pesticides, comme les oranges ou le brocoli, faisait baisser le risque de mortalité de 36 % par rapport à n’en manger qu’une seule portion. À l’inverse, consommer la même quantité de fruits et légumes contenant plus souvent des résidus de pesticides, comme les épinards ou la laitue, ne diminuait pas le risque de mortalité par rapport à n’en manger qu’une seule portion. Ils en déduisent que les résidus de pesticides pourraient annuler le bénéfice de la consommation de fruits et légumes. Il n’en fallait pas plus pour que l’article du Monde soit relayé largement et sans nuance. Or, quand on regarde la méthodologie de l’étude citée, ses résultats et les interprétations que les chercheurs en font, force est de constater que leurs conclusions ressemblent bien plus à un plaidoyer contre les pesticides qu’à une analyse rigoureuse et objective. Voici pourquoi vous devriez continuer à manger vos 5 à 10 portions de fruits et légumes par jour, que ceux-ci soient bios ou pas. Des éléments rassurants Les bénéfices d’une consommation élevée de fruits et légumes ont été largement et solidement documentés par des études, comme celle-ci et celle-là. Une méta-analyse de 2017 a par exemple conclu à un lien direct entre le nombre de portions ingérées et la diminution du risque de cancers, de maladies cardiovasculaires et de mortalité de toutes causes. L’an dernier, nous avions rapporté les résultats d’une revue exhaustive de la littérature scientifique menée par des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale INSERM, en France, qui ont compilé 5 300 études sur les risques des pesticides pour la santé selon la manière dont différents groupes de la population y sont exposés. Dans certains cas, les pesticides représentent un danger bien réel, par exemple pour les agriculteurs qui en manipulent de grandes quantités leur vie durant. Mais pour ce qui est des effets sur la santé des résidus de pesticides absorbés par l’alimentation, la compilation des études ne permet pas de conclure à un risque accru de maladies. Plusieurs travaux ont d’ailleurs déjà montré assez clairement que les résidus présents sur les fruits et légumes n’augmentent pas le risque de cancer, et ce, même si plusieurs pesticides sont cancérigènes à forte dose. Les chercheurs de Harvard en sont eux-mêmes arrivés à cette conclusion en analysant les risques de cancer, et non de mortalité de toutes causes, dans les trois cohortes qu’ils ont suivies, ce qu’ils ont détaillé dans une étude publiée en novembre 2021. Avec son équipe, le toxicologue à l’INSPQ Mathieu Valcke a quant à lui estimé, dans une étude sur ce sujet parue en 2017, que pour 100 cancers prévenus par la consommation de fruits et légumes, un seul pouvait théoriquement être provoqué par les résidus de pesticides sur ces aliments. Vous voulez diminuer vos risques de cancer ? Manger beaucoup de fruits et légumes a toutes les chances d’être très bénéfique ! Comment réduire les risques ? Selon Mathieu Valcke, le meilleur moyen de se prémunir contre la nocivité des résidus de pesticides sur les fruits et légumes consiste à varier ceux que l’on consomme. De cette manière, si un produit présente vraiment un risque élevé, son effet sera bien moindre que si vous en mangez tous les jours », ajoute le toxicologue. Comme plusieurs autres chercheurs, Mathieu Valcke incite à se méfier des classifications telles que celle de l’Environmental Working Group EWG américain avec sa Dirty Dozen, qui appelle les citoyens à éviter certains fruits et légumes. Cette liste ne tient en effet pas compte des concentrations réelles de résidus de pesticides sur ces aliments ni du type de pesticides ; elle se préoccupe seulement du nombre de pesticides différents détectés sur un aliment et de la fréquence à laquelle les analyses décèlent au moins un résidu détectable. Selon cette classification, un fruit ayant des traces infimes de deux résidus pourrait être considéré comme plus dangereux qu’un autre contenant une dose massive d’un seul pesticide. Dans sa méthodologie, le EWG indique d’ailleurs que sa classification ne nous renseigne pas sur le niveau de risque. Se priver de fraises ou de pommes parce qu’elles pourraient être contaminées ? Non. Surtout qu’un simple rinçage à l’eau claire élimine la majeure partie des résidus. Faudrait-il manger bio ? Pas forcément. D’un point de vue de santé publique, on ne peut pas conseiller cette stratégie, parce que le prix plus élevé des aliments biologiques les rend beaucoup moins accessibles à une grande partie de la population », opine Mathieu Valcke. De toute façon, si le risque associé aux résidus de pesticides était important, on devrait aussi voir un effet bénéfique marqué de la consommation de produits biologiques, car il est bien établi que celle-ci diminue largement l’exposition, ajoute le spécialiste. Or, de manière générale, les études sur l’alimentation biologique montrent un bénéfice pour la santé qui est, au mieux, marginal. » Parmi les études qui ont trouvé un net avantage au bio, la plupart n’ont pas tenu compte du fait que les gros consommateurs d’aliments biologiques sont plus riches, qu’ils mangent mieux en général moins de viandes et plus de céréales complètes et qu’ils ont de meilleures habitudes de vie moins de tabagisme et plus d’activité physique, ce qui suffit amplement à réduire leur risque de maladies. Vous avez les moyens de manger bio ? Tant mieux, surtout que les pesticides ont de nombreux effets sur l’environnement. Mais même s’il faut continuer de bien étudier les risques que les résidus de pesticides pourraient poser pour la santé, et diminuer autant que possible le recours à ces produits pour protéger la nature et les travailleurs agricoles, renoncer aux fruits et légumes parce qu’ils ne sont pas bios serait vraiment une erreur. Une étude à prendre… avec un grain de sel L’étude qui a inspiré un article au journal Le Monde à la fin de mai 2022 avait été publiée quelques mois plus tôt, en janvier, dans Environment International. Les chercheurs se sont basés sur trois grandes enquêtes épidémiologiques qui suivent la santé d’infirmières et d’autres professionnels de la santé aux États-Unis depuis les années 1970. Ils ont retenu les données obtenues de 1999 à 2019 auprès de 146 000 personnes qui ont rempli, tous les quatre ans, un questionnaire sur leurs habitudes de consommation de 131 aliments, dont 27 fruits et légumes. En parallèle, ils ont récupéré des données du Département américain de l’agriculture sur la détection de pesticides résiduels sur les fruits et légumes, pour classer ceux-ci en trois groupes, selon la quantité de pesticides qui y a été retrouvée en moyenne. Puis ils ont croisé ces informations et regardé l’effet de la consommation d’un plus ou moins grand nombre de portions des différents fruits et légumes sur le taux de mortalité des participants. Ils en ont conclu que les résidus pourraient diminuer » le bénéfice de la consommation de fruits et légumes quant au risque de mortalité, et écrivent dans leur résumé qu’ils pourraient l’annihiler may offset ». L’idée de départ des chercheurs de Harvard est quand même intéressante, car personne n’avait encore abordé cette question avec une méthodologie de ce type », affirme Mathieu Valcke, toxicologue à l’INSPQ. Les résultats sont toutefois discutables, puisque l’étude comporte de multiples lacunes. D’abord, on sait que les questionnaires autorapportés sont peu fiables pour estimer les habitudes alimentaires. Or, aucune mesure des résidus de pesticides présents dans le sang ou l’urine des participants n’a été faite pour compenser cette lacune, ce qui limite la fiabilité des résultats. D’ailleurs, on ignore les quantités réelles de pesticides consommées par les participants, les chercheurs ayant distingué les aliments uniquement par rapport à la fréquence à laquelle ils contiennent des quantités décelables de pesticides, sans tenir compte de leur concentration. On ne sait rien non plus du reste de l’alimentation des participants — ni de la qualité ou de la quantité de ce qu’ils ont mangé, ni des traces de pesticides que cette autre nourriture pourrait aussi contenir. Les analyses statistiques tendent également à exagérer les différences », estime Mathieu Valcke. Ici, en outre, les chercheurs ont mis de côté les études déjà réalisées sur le même sujet qui montraient plutôt un faible effet des résidus de pesticides présents sur les fruits et légumes. Leurs conclusions sont imprudentes compte tenu des nombreuses limites de l’étude, et le résumé qu’ils en font est irresponsable. »
\n \n \n\n ce que je ne savais pas et vous non plus
Hapour ceux qui ne savent pas je n’ai pas le droit de porter de culotte et de soutif. The following media includes potentially sensitive content. Change settings. View. 2:08 PM · Aug 15, 2022 · Twitter for iPad. 20. Retweets. 194. Likes. pololito. @pololito1126 · Aug 15. Replying to @MarkisiaIndia. J adore. 1. Benji @KyleLeister3 · Aug 15. Replying to @MarkisiaIndia. Pour
Le Bachelor, Greg le millionnaire, Mariés au premier regard… On ne compte plus les émissions qui tentent de faire se rencontrer deux âmes sœurs. M6 propose alors de revenir sur les plus grandes émissions de dating du petit écran dans 20 ans d’amour à la télévision ce lundi à 21h10. On y verra notamment des images de la première saison de Mon Incroyable Fiancé, lancée sur TF1 en cette grande supercherie, la productrice fait croire à Adeline, qui se fait désormais appeler Angelina Toffoli, qu’elle va rencontrer l’homme de sa vie sous l’œil des caméras. Surprise, elle se retrouve face à Laurent Ournac, ou plutôt son personnage, Laurent Fortin, qui n’a alors qu’un seul but faire péter un câble à sa dulcinée. Une fois la supercherie dévoilée à Adeline, elle avait dû réussir à faire accepter ce faux mariage à ses parents pour remporter la somme de euros. Je n’ai jamais cherché à être médiatisée, je ne me disais pas que je voulais faire cette émission pour être vue », témoigne Angelina auprès de 20 qui était le plus difficile supporter Laurent Ournac ou devoir jouer la comédie devant vos parents ?Jouer la comédie devant mes parents, je devais improviser face à leurs émotions. Tous les matins, on avait un brief de la production qui nous disait ce qu’on allait faire leur annoncer qu’on allait se fiancer, se marier, etc. Il y avait des étapes. Moi, je n’avais pas de trame. Laurent, lui, avait un coach et il savait ce qu’il devait faire alors que moi, c’était de l’impro totale. Je ne savais pas ce qu’il fallait que je leur dise et comment ils allaient réagir. Ce n’est pas une comédie, ce sont de vraies personnes et il y a quand même une remise en question perpétuelle, on n’a pas envie d’aller trop loin pour ne pas leur faire du mal. Il faut trouver la juste êtes-vous quand même attachée à Laurent Fortin/Ournac dans l’émission ?Je me suis vraiment attachée à Laurent, oui. Comme on n’était que tous les deux, je n’avais plus que lui parce que j’étais isolée dans ma chambre, on venait me chercher uniquement pour jouer des scènes totalement improvisées avec lui. J’avais été coupée de tout bien avant le tournage, je ne côtoyais plus que Laurent donc il y a eu vraiment un attachement fort. Sinon, j’étais toute seule donc à chaque fois qu’on faisait une scène, même si je ne savais pas ce qui allait se passer, j’étais hyper heureuse de le retrouver. On était deux dans ce mensonge-là, ça devenait un allié. Je me suis attachée en tant qu’alliée et qu’être humain parce que je l’ gardé contact avec lui ?Le tournage s’est déroulé en février 2005 et l’émission a été diffusée en juillet. On s’est revus plein de fois avant la diffusion, on était très très proches. Je pensais avoir gagné un ami pour la vie, on a d’ailleurs dit qu’on ne se quitterait plus. Finalement, à la diffusion, rien ne s’est passé comme prévu. Le succès a été très grand, Laurent voyait qu’il pouvait continuer là-dedans, il a saisi des opportunités et il a compris qu’il fallait qu’il se sépare de moi dans sa trajectoire. Ça a été assez difficile pour moi parce que je n’ai pas compris pourquoi on ne pouvait plus être amis. Il y a du boulot pour tout le monde, ce n’est pas parce qu’il décide de faire des trucs avec TF1 qu’on ne peut plus être amis. C’est là où j’ai été très déçue, il coupait les ponts au fur et à mesure, il est resté injoignable et c’est resté comme ça…Diriez-vous que c’est une expérience qui change une vie ?Je pense que c’est une émission qui a impacté ma vie. J’avais 24 ans à l’époque, elle m’a fait grandir sur beaucoup de choses, notamment dans mes relations familiales. Mon papa était très absent quand j’étais jeune, il était très pudique et quand il a accepté ce faux mariage et m’a guidée auprès de Laurent, il m’a dit qu’il m’aimait, qu’il était fier de moi et c’est ce qu’attend toute jeune fille. C’est quelque chose que je n’oublierai jamais. Il a fallu cette émission pour qu’il y ait ce rapprochement. Ça a changé ma vie. Vous êtes devenue connue dans la France entière il y a eu un pic d’audience à dix millions de téléspectateurs lors du faux mariage…Je n’ai jamais cherché à être médiatisée, je ne me disais pas que je voulais faire cette émission pour être vue. J’ai eu cette opportunité, j’aimais la comédie, j’ai pris plaisir à jouer devant la caméra, il me semblait avoir des facilités pour transmettre des émotions. Quand je me suis installée à Paris après l’émission, j’ai pris des cours de théâtre pour être sûre de ce que je valais. On m’a dit que j’avais ça en moi alors je pensais que s’il y avait suffisamment de médiatisation, je pourrais dire oui à des propositions. Il y a eu des projets, mais ils n’ont jamais été au bout donc je me suis retirée de tout presse avait très mal reçu ce programme, parlant d’exploitation de l’obésité. C’était une chose à laquelle vous prêtiez attention à l’époque ?Je n’ai pas compris les critiques de la presse, qui a pris l’émission au premier degré. Les téléspectateurs, eux, ne se sont pas trompés j’ai reçu des tonnes de courriers de gens qui étaient en couple avec des personnes qui n’avaient pas la même religion, la même couleur… Grâce à l’émission, ils ont eu le courage de le dire à leur famille. La presse avait mal pris l’obésité de Laurent. Si les journalistes avaient pris la peine de regarder l’émission jusqu’au bout, ils auraient vu qu’on allait au-delà des apparences. Le message d’acceptation était beau. Dix-sept ans en arrière, c’était faites-vous dans la vie aujourd’hui ?Je me suis installée à Dijon en 2011, je me suis reposée en Bourgogne, dans mes terres. Je fais de la médi-esthétique, je suis la gérante d’un centre de nouvelles technologies depuis quatre ans où on fait du lifting non chirurgical, du raffermissement, de la réparation de gens vous reconnaissent-ils encore, dix-sept ans après ?Oui, ça m’arrive ! J’ai ouvert en 2018, mes premières clientes sont venues par curiosité parce qu’elles savaient qui j’étais. Quand elles tombent avec moi en soin, c’est 5 étoiles avec la star de télé rires ! Je n’ai que des bons retours à chaque fois, ils ont aimé cette émission, il y a beaucoup de respect. Méthode1Pratiquer la CNV. 1. Exprimez les observations qui vous poussent à vouloir dire quelque chose. Celles-ci doivent être des observations purement concrètes exemptes de jugement ou d'appréciation. Les gens désapprouvent généralement les jugements parce qu'ils ne voient pas les choses de la même façon que vous.

Citation je ne savais pas Découvrez une citation je ne savais pas - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase je ne savais pas issus de livres, discours ou entretiens. Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème je ne savais pas. 80 citations > Citation de Jean-Yves Lafesse n° 172887 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 469 votesJe t'aime. Je ne peux pas faire autrement. Je t'aimais même avant que tu apparaisses réellement. Je rêvais de toi, j'avais des visions de toi, je savais comment tu serais. Tout ça s'est confirmé quand je t'ai rencontrée. 365 jours 2021 de Blanka LipinskaRéférences de Blanka Lipinska - Biographie de Blanka LipinskaPlus sur cette citation >> Citation de Blanka Lipinska n° 172785 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesVraiment, mon divin ange , je ne savais pas que vous eussiez enterré votre médecin. Je ne sais rien de si ridicule qu'un médecin qui ne meurt pas de vieillesse ; et je ne conçois guère comment on attend sa santé de gens qui ne savent pas se guérir cependant il est bon de leur demander quelquefois conseil, pourvu qu'on ne les croie pas aveuglément. Mais comment pouvez-vous prendre les mêmes remèdes, madame d'Argental et vous, puisque vous n'avez pas la même maladie ? c'est une énigme pour moi. Tout ce que je puis faire, c'est de lever les mains au ciel, et de le prier de vous accorder une vie très longue, très saine, avec très peu de à Monsieur le Comte d'Argental, 6 novembre 1767 de VoltaireRéférences de Voltaire - Biographie de VoltairePlus sur cette citation >> Citation de Voltaire n° 172735 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 470 votesJe savais qu'un jour, et un jour prochain, je volerais. Rien ne pouvait me faire renoncer à cette foi. Je ne voulais pas de profession autre que celle de pilote. Mes vols 1937 de Jean MermozRéférences de Jean Mermoz - Biographie de Jean MermozPlus sur cette citation >> Citation de Jean Mermoz n° 172535 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesPeut-être que je ne savais pas garder un rôle. Mais j'étais capable de décrocher n'importe quoi. J'avais le chic, quoi. Je surgissais du néant au moment opportun... peu importait que j'ai lu ou non le texte. Moi, Histoires de ma vie de Katharine HepburnRéférences de Katharine Hepburn - Biographie de Katharine HepburnPlus sur cette citation >> Citation de Katharine Hepburn n° 172273 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesJ’ai voulu la pluie. Je l’ai tant voulue que quand elle est venue, je ne savais plus comment l’arrêter. C’était une grosse pluie rose, vert, bleu, elle prenait la couleur d’un rien. Elle assommait les oiseaux. Il a plu comme ça pendant je ne sais pas combien de temps. Les vieux disaient qu’ils n’avaient jamais vu ça. Ils parlaient de leurs ancêtres et de Dieu? et du ciel et de tout sauf de la raison de la pluie moi. Ma reine 2017 de Jean-Baptiste AndreaRéférences de Jean-Baptiste Andrea - Biographie de Jean-Baptiste AndreaPlus sur cette citation >> Citation de Jean-Baptiste Andrea n° 172169 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesNé pauvre, dans un quartier ouvrier, je ne savais pourtant pas ce qu'était le vrai malheur avant de connaître nos banlieues froides. Même l'extrême misère arabe ne peut s'y comparer, sous la différence des ciels. Mais une fois qu'on a connu les faubourgs industriels, on se sent à jamais souillé, je crois, et responsable de leur de L'envers et L'endroit de Albert CamusRéférences de Albert Camus - Biographie de Albert CamusPlus sur cette citation >> Citation de Albert Camus n° 171282 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesOn trouve dans le monde beaucoup d'injustices, mais il en est une dont on parle jamais, qui est celle du climat. De cette injustice-là, j'ai été longtemps, sans le savoir, un des profiteurs. J'entends d'ici les accusations de nos féroces philanthropes, s'ils me lisaient. Je veux faire passer les ouvriers pour riches et les bourgeois pour pauvres, afin de conserver plus longtemps l'heureuse servitude des uns et la puissance des autres. Non, ce n'est pas cela. Au contraire, lorsque la pauvreté se conjugue avec cette vie sans ciel ni espoir qu'en arrivant à l'âge d'homme j'ai découverte dans les horribles faubourgs de nos villes, alors l'injustice dernière, et la plus révoltante, est consommée il faut tout faire, en effet, pour que ces hommes échappent à la double humiliation de la misère et de la laideur. Né pauvre, dans un quartier ouvrier, je ne savais pourtant pas ce qu'était le vrai malheur avant de connaître nos banlieues froides. Même l'extrême misère arabe ne peut s'y comparer, sous la différence des ciels. Mais une fois qu'on a connu les faubourgs industriels, on se sent à jamais souillé, je crois, et responsable de leur de L'envers et L'endroit de Albert CamusRéférences de Albert Camus - Biographie de Albert CamusPlus sur cette citation >> Citation de Albert Camus n° 171279 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 473 votes Il n’y a pas d’amour de vivre sans désespoir de vivre », ai-je écrit, non sans emphase, dans ces pages. Je ne savais pas à l’époque à quel point je disais vrai ; je n’avais pas encore traversé les temps du vrai désespoir. Ces temps sont venus et ils ont pu tout détruire en moi, sauf justement l’appétit désordonné de vivre. Je souffre encore de cette passion à la fois féconde et destructrice qui éclate jusque dans les pages les plus sombres de L’Envers et l’Endroit. Préface de L'envers et L'endroit de Albert CamusRéférences de Albert Camus - Biographie de Albert CamusPlus sur cette citation >> Citation de Albert Camus n° 171275 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 479 votesA dix ans, je n'étais pas Sissi, à dix-huit ans, beaucoup moins encore. Je me sentais étiquetée. Et rien n'est plus dangereux pour une actrice .... Personne ne voulait croire que je pouvais faire autre chose. Je devais jouer le rôle d'une princesse dans ce film, puis dans un autre encore. Je me suis défendue contre le deuxième Sissi et j'en ai pourtant tourné un troisième. Pourquoi ? Je ne savais tout simplement pas comment me libérer de tous mes liens, personnels et professionnels. J'étais assez désespérée. Romy Schneider intime, d'Alice Schwarzer 2018 de Romy SchneiderRéférences de Romy Schneider - Biographie de Romy SchneiderPlus sur cette citation >> Citation de Romy Schneider n° 170486 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesEt je savais déjà que je ne serais pas jugée à la même aune qu’elles. En tant que première First Lady afro-américaine à entrer à la Maison-Blanche, j’étais autre » presque par défaut. Si on prêtait a priori une certaine dignité, attachée à la fonction, aux femmes blanches qui m’avaient précédée, j’étais consciente que, pour moi, ce n’était pas gagné d’avance. J’avais appris de mes déconvenues de la campagne que je devrais être meilleure, plus rapide, plus intelligente et plus forte que jamais. Je devrais gagner la sympathie du public. Je craignais que beaucoup d’Américains ne se retrouvent ni en moi ni dans mon parcours. Je n’aurais pas le luxe de m’installer lentement dans mon nouveau statut avant d’être jugée. Et, pour ce qui était des jugements, j’étais plus vulnérable que jamais aux craintes infondées et aux stéréotypes raciaux tapis juste sous la surface de la conscience collective, que la rumeur et les allusions insidieuses feraient inévitablement remonter. J’étais émue et ravie d’être première dame, mais je n’ai pas cru une seconde me glisser dans un rôle prestigieux ou facile. Devenir 2018 de Michelle ObamaRéférences de Michelle Obama - Biographie de Michelle ObamaPlus sur cette citation >> Citation de Michelle Obama n° 170448 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesDétendue dans mon siège, je pris une grosse bouchée fondante de croissant au beurre, en la gardant dans la bouche. Pendant ce bref instant, la vie était simple et pleine de joie. J’avais envie de la savourer. Je savais que ça ne durerait pas. Élixir 2010 de Hilary DuffRéférences de Hilary Duff - Biographie de Hilary DuffPlus sur cette citation >> Citation de Hilary Duff n° 169972 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesLes hommes sont comme les orangers. Il leur faut choisir ce qui les aide à vivre, ce qui les épanouit. Fillette, je ne le savais pas encore. Je n'aimais pas le lait et je détestait la contrainte. Mais je croyais juste de l'imposer à l'arbre qui m'était si lait de l'oranger 1988 de Gisèle HalimiRéférences de Gisèle Halimi - Biographie de Gisèle HalimiPlus sur cette citation >> Citation de Gisèle Halimi n° 169748 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesA l’époque, je ne savais pas combien la passion était ennemie de l’amour. Je prenais même la passion pour de l’amour. Je pensais que les belles histoires n’avaient vraiment de valeur que lorsqu’elles n’étaient pas possibles ; que le quotidien et son train-train tuent vraiment l’amour. Je ne croyais l’amour possible que dans la passion et ses drames. Spèrme 2016 de Michel PolnareffRéférences de Michel Polnareff - Biographie de Michel PolnareffPlus sur cette citation >> Citation de Michel Polnareff n° 169063 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesJe savais que je l'aimais, je savais qu'il allait mourir, que fait-on avec un être aimé qui va mourir, alors que toute une vie s'est écoulée et qu'on n'a pas fait ce qu'on aurait pu faire. Blanche et Marie 2004 de Per Olov EnquistRéférences de Per Olov Enquist - Biographie de Per Olov EnquistPlus sur cette citation >> Citation de Per Olov Enquist n° 168752 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 468 votesAvant de voyager sur terre Vers de lointains sommets, Je ne savais pas, Angleterre, À quel point je t'aimais. Il est pas de triste rêve, C'est fini pour toujours, Je ne veux plus quitter ta grève, Pays de mes amours !Les Ballades lyriques 1798 de William WordsworthRéférences de William Wordsworth - Biographie de William WordsworthPlus sur cette citation >> Citation de William Wordsworth n° 168111 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesAvant de voyager sur terre Vers de lointains sommets, Je ne savais pas, Angleterre, À quel point je t'aimais. Les Ballades lyriques 1798 de William WordsworthRéférences de William Wordsworth - Biographie de William WordsworthPlus sur cette citation >> Citation de William Wordsworth n° 168110 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesLe romancier est un marin à qui on dit ton bateau est là, il faut que tu l'emmènes là », et entre les deux il n'y a rien, pas de balise Argos, rien. Quand je commence, je ne sais pas du tout ce qui peut se passer à la fin. Si je le savais, je ne l'écrirais pas. Je jette les dés sur la table. Tu gagnes ou tu Encres Vagabondes, propos recueillis par Serge Cabrol de Pascal GarnierRéférences de Pascal Garnier - Biographie de Pascal GarnierPlus sur cette citation >> Citation de Pascal Garnier n° 167870 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesChacun était convaincu d'être dans son bon droit, du bon côté de la vie. Mais, je le savais désormais, il n'y avait pas de bon côté. Et je savais aussi je ne n'échapperais pas à cette fatalité. Sans le savoir, j'avais déjà glissé du côté où les hommes se croient sauvés du côté de la raison, de la morale, de la normalité. Le premier été 2011 de Anne PercinRéférences de Anne Percin - Biographie de Anne PercinPlus sur cette citation >> Citation de Anne Percin n° 167341 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votesJ'avais vingt ans.... ou bien vingt-cinq, ou plus, ou moins... Peu importe ! Je voulais vivre mais je ne savais pas pourquoi vivre, ni comment vivre. Je cherchais. Je cherchais jusqu'à l'angoisse, me cognant aux mirages de mes déserts. Parle-moi d'amour 1989 de Michel QuoistRéférences de Michel Quoist - Biographie de Michel QuoistPlus sur cette citation >> Citation de Michel Quoist n° 166124 - Ajouter à mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 466 votes< 23456Votre commentaire sur ces citations - Jalousie - Jambes - Jardin - Jazz - Je+t_aime - Jesus - Jeu - Jeux - Jeux olympiques - Jeune - Jeunesse - Joie - Jolie - Jouer - Jouir - Jour - Journal - Journalisme - Journaliste - Jugement - Juger - Juif - Juste - Justice Thèmes populaires + Autres belles citations et proverbes sur je ne savais pas Toutes les citations sur je ne savais pas Citations je ne savais pas Citation je ne savais pas et Proverbe je ne savais pas Citations, proverbes sur je ne savais pas Citation sur je Citations courtes je Poèmes je ne savais pas Proverbes je ne savais pas Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitionsThèmes populairesCitations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance

Jevous rassure, vous n'êtes pas seul dans ce cas, de nombreuses personnes ne savent pas quoi demander comme cadeau. Vous pouvez attendre de voir ce que l'on va vous offrir, c'est parfois une bonne surprise mais pas toujours. Si vous voulez être certain d'avoir le cadeau qui est fait pour vous, le mieux est de réfléchir. Si la personne
Salutations de la lumière qui fait collectivement partie de votre propre être ! Pouvez-vous saluer la lumière d’un autre ? Pouvez-vous percevoir votre propre lumière lorsque vous regardez dans les yeux de plusieurs personnes ? En effet, vous le pouvez ! Le collectif est uni en une seule lumière qui a des facettes de brillance en chacun de vous ! Celui qui vous tient ne peut être divisé, mais il est exprimé en beauté à partir de l’essence du commencement. Vous êtes venus à ce moment du maintenant pour terminer, pour célébrer et recommencer dans des couleurs plus riches, dans la séquence divine et dans la magnificence de la vie telle que vous la connaissiez ! Vous êtes en train de devenir la vérité de votre origine, la joie d’être en vie et le don d’avancer dans la lumière sans perte ! Vous êtes arrivés sur la planète Terre pour transcender les paramètres qui définissent votre existence. Pour faire face à chaque adversité et essuyer vos larmes en vous souvenant, et en souriant ! Vous êtes venus pour approfondir votre connexion avec les aspects entrelacés de votre être qui donnent à votre vie expérience et profondeur, sachant que vous êtes tellement plus que vous ne pouvez l’imaginer. Vous êtes en train de découvrir votre vrai moi en soulevant des montagnes de débris jetés sur vous depuis des directions inconnues pour vous ! De ceux qui exercent un pouvoir sur vous avec de fausses lumières, de faux drapeaux, des guerres planifiées et des pandémies planifiées. Ne vous inquiétez jamais ! Car vous êtes la lumière ! Tu peux te plier mais tu ne te briseras jamais ! Tu es venu à ce rêve éveillé avec de nombreuses âmes afin de rejeter la vision consensuelle de la réalité qui t’a été imposée depuis ta naissance, et de remplacer cette compréhension par une transcendance totale. Tu es le premier à découvrir ton pouvoir et à retourner en majesté, pleinement éveillé, sans avoir à subir l’expérience de la mort ! En effet, le pouvoir des multivers applaudit vos efforts pour affronter l’Ascension avec grâce et joie ! Nous sommes avec vous pour le reste du rêve. Dans l’amour, nous vous rejoignons, maintenant invisibles aux yeux des humains. Soyez forts, gentils et toujours en alerte ! Soulever un autre, c’est se soulever soi-même ! Nous sommes unis dans la vérité ! Nous sommes le COLLECTIF PLEIADIEN ! Nous nous déplaçons et vivons dans le Créateur de toute lumière ! ELAKO Nous t’aimons tellement ! 377 Retrouvez-moi sur Odysee, Telegram et GETTR – Ce contenu ainsi que les informations et les opinions qui y sont exprimées sont ceux de leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement mon opinion.
Résolu Bonjour, j'ai un peut souci, j'ai trouvé un objet que je voulais acheter mais comme c'est ma première fois à utiliser leboncoin je ne savais pas trop comment ça fonctionnait, du coup j'ai appuyé sur le bouton "acheter" de la page, aie mis mes informations bancaires et aie été débité du montant du jeu (30 euros) en plus des 1,20 de la protection leboncoin Or que je n'ai pas
Ce que je ne savais pas et vous non plusLe jour d'aprèsReliure BrochéISBN 10 222646199xISBN 13 9782226461995 En réimpression Alerte dispo Cet ouvrage n'est momentanément plus disponible chez l'éditeur Paiements sécurisésCB Google/Apple Pay, Chèque, à partir de 35€ en France métropolitaineSatisfait ou remboursé sous 14 jours ouvrés'Ce que nous avons vécu a déjà été joué. A New-York. Lors d'une réunion ou plutôt d'un exercice de simulation d'une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019 ; tout a été filmé et se trouve sur internet. Cela s'est passé plusieurs mois avant la survenance du virus. En réalité, les participants - les géants du capitalisme de surveillance - anticipaient ainsi la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d'un seul tenant, sans cloisons. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s'y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir. Quand elle survint, ils la saluèrent comme 'une fenêtre d'opportunité' . Pour les rentiers du numérique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d'essai l'idée d'une 'société disciplinaire' . Ainsi les élites globalisées ont-elles préparé le jour d'après. Occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société. Et imposer enfin leurs codes de désocialisation, leur esthétisme woke, leur idéologie du Bien total'. Ayant entre les mains des éléments d'information fiables, recoupés, glaçants, Philippe de Villiers a décidé de prendre la plume pour alerter les Français, en espérant contribuer ainsi à l'insurrection des parutions sur le même thème Avis clients Avis clients sur Ce que je ne savais pas et vous non plus - Albin Michel - Ils sont modérés par nos soins et rédigés par des clients ayant acheté l'ouvrageDonnez votre avis Articles le plus souvent achetés avec
lol je savais pas quoi mettre comme titre! lol c'était pour vous dire que je m'en vais! c'est finit entre nous!! loool non jdois amener mon ordi chez le r"para. le roi soleil: Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Accueil Rechercher . S'enregistrer Connexion : Le deal à ne pas rater : Cartes Pokémon : sortie
Se divertir c'est aujourd'hui s'amuser, se distraire. Avant le 17° siècle, le mot, conformément à son étymologie latine divertere signifiait action de détourner de », par exemple détourner un bien dans un inventaire. Pascal construit sur l'étymologie une catégorie morale. Le divertissement est une pratique d'esquive, typique de l'existence humaine. Il s'agit de ne plus penser à quelque chose qui nous afflige, de nous détourner d'une réalité déplaisante. Cette réalité déplaisante n'est pas un mal circonstanciel, par exemple un deuil, un échec sentimental ou professionnel. C'est un malheur constitutif de notre existence. Notre condition est celle d'un être faible, mortel, exposé à la maladie, aux affres de la solitude, à de multiples soucis et de surcroît, privé du seul être qui pourrait le combler, entendons privé de Dieu. C'est donc celle d'un être misérable » condamné pour supporter cette misère à tout faire pour n'y point penser. Les hommes n'ayant pu guérir la mort, la misère, l'ignorance, ils se sont avisés pour se rendre heureux de n'y point penser » B. 168. L'homme ne peut être heureux ni en repos ni dans l'agitation qui fait l'ordinaire de sa vie. PB Pourquoi ne peut-il pas être heureux dans la solitude et l'inaction ? = en repos ». Parce qu'il ne peut échapper dans cette situation à la conscience de son insuffisance, de sa misère, de son vide, de sa déréliction Rien n'est si insupportable à l'homme que d'être dans un plein repos, sans passions, sans affaire, sans divertissement, sans application. Il sent alors son néant, son abandon, son insuffisance, sa dépendance, son impuissance, son vide. Incontinent il sortira du fond de son âme l'ennui, la noirceur, la tristesse, le chagrin, le dépit, le désespoir » B. 131. Il faut donc échapper à l'ennui, au désespoir et pour cela tous les moyens sont bons la chasse, la guerre, le militantisme, le travail, le sport, les conquêtes amoureuses, la conversation, l'étude, le jeu, les fêtes etc. La notion pascalienne de divertissement désigne aussi bien les activités frivoles que les activités sérieuses car quelles qu'elles soient, l'essentiel est de ne pas penser à ce qui nous affligerait si nous le regardions en face. Celui-ci est occupé à séduire les femmes, celui-là à résoudre un problème d’algèbre, cet autre encore à faire le philosophe en dénonçant une vanité à laquelle il n’échappe pourtant pas tant c’est moins la sagesse qu’il a en vue qu’une façon comme une autre de se fuir et de s’assurer du prestige. Car chacun s’efforce comme il peut de se masquer son néant et dans cette grande affaire, l’art de paraître afin de se sentir exister favorablement dans le regard des autres n’est pas le moindre. La comédie humaine est comédie sociale, concurrence des amours-propres, recherche de la gloire. L’homme du divertissement ne vit pas en lui, c’est-à-dire dans l’amour de Dieu, il existe hors de lui dans la dépendance des autres avec ce que cela implique de plaisir de la domination, de souffrance de l’humiliation, d’envie et de haine. D’où l’insistance de Pascal sur les statuts sociaux. Les exemples du roi, du surintendant, du chancelier, du gentilhomme, opposés à celui du piqueur montrent que les positions de pouvoir et de prestige assurent des avantages sur la scène imaginaire où l’instinct de notre seconde nature fourvoie celui de la première. Elles garantissent à ceux qui les occupent une bonne image d’eux-mêmes, des respects d’établissement et la sollicitude de courtisans divers et variés soucieux de distraire les puissants. Aussi sont-ils à l’abri de la solitude qu’ils redoutent autant que la prison. Il s’agit donc toujours d’exister hors de soi dans le fantasme d’une vie qui est en réalité une mort, dans une construction imaginaire de soi-même et du réel où l’on peut aussi bien dire que l’homme s’abuse lui-même qu’il est abusé. Car si les hommes ne savent pas que c’est la chasse, et non la prise, qu’ils recherchent », l’illusion est involontaire mais s’ il faut qu’il s’y échauffe et qu’il se pipe lui-même, en s’imaginant qu’il serait heureux de gagner ce qu’il ne voudrait pas qu’on lui donnât à condition de ne point jouer, afin qu’il se forme un sujet de passion, et qu’il excite sur cela son désir, sa colère, sa crainte, pour l’objet qu’il s’est formé, comme les enfants qui s’effrayent du visage qu’ils ont barbouillé », l’illusion est volontaire. L’homme du divertissement est comme l’enfant qui joue, et oublie qu’il est au principe de ses productions imaginaires, productions dont Pascal souligne les effets de réalité. PB Alors quelle est la fonction du désir dans l'économie de l'existence humaine ? S'il est vrai que les hommes s'exposent à des peines, à des tracas, à des périls parce qu'ils sont incapables de rester, sans déplaisir en repos, il n'en demeure pas moins que, s'ils avaient une conscience claire qu'ils se donnent tout ce mal pour cette raison, l'agitation dans laquelle ils sont cesserait de remplir sa fonction. Exemple Si le joueur de tennis savait que l'application qu'il met pour bien placer la balle est nécessaire pour le détourner de l'ennui et du désespoir, si le sérieux avec lequel tout professionnel consciencieux exerce son métier apparaissait à celui-ci pour ce qu'il est, à savoir un divertissement c'est-à-dire au fond un jeu, nul doute que ni le joueur de tennis, ni l'homme de métier ne feraient ce qu'ils font avec autant de sérieux. Et ils y perdraient l'essentiel de l'avantage que ces occupations sont destinées à promouvoir. Ce qui nous sauve de cette lucidité délétère est la magie du désir, son imaginaire, son dynamisme. Il nous projette vers de fins que nous fantasmons comme sources de plaisir, il mobilise notre énergie, notre attention dans l'espoir de les atteindre. Qu'importe que ce ne soit pas le lièvre qui intéresse le chasseur, mais la chasse ; le gain qui intéresse le joueur mais le jeu ; le salaire qui intéresse la travailleur mais le fait que la vie professionnelle lui permette de meubler le vide existentiel, l'important est de l'ignorer. L'analyse pascalienne du divertissement nous demande donc de pointer à la fois la vanité du désir et son utilité existentielle. PB Comment Pascal juge-t-il le divertissement ? Il en souligne l'ambiguïté. Car ce qui est problématique dans la vanité humaine, ce n'est pas de se divertir. Heureusement que les hommes peuvent penser à autre chose qu'à ce qui les rendrait malheureux s'ils y pensaient. Pascal ne condamne pas de manière absolue le divertissement, au contraire il en souligne la fonction pragmatique dans la mesure où il protège l'homme du désespoir. Mais ce qui est problématique, c'est que les hommes se jettent dans le tumulte comme si la possession des choses qu'ils recherchent les devait rendre véritablement heureux » B. 139. Et là, ils se trompent car donnez au chasseur le lièvre, au joueur le gain ; condamnez le chasseur ou le joueur à chasser ou à jouer sans qu'ils ne puissent se prendre au jeu c'est-à-dire sans que la chasse ou le jeu ne soient pour eux une affaire sérieuse, vous les rendrez malheureux. Vous priverez aussitôt la chasse, le jeu, les occupations professionnelles de tout leur intérêt. Il s'ensuit que se divertir consiste à vouloir deux choses contradictoires le jeu et le sérieux. Pascal condamne donc dans le divertissement cette manière de prendre au sérieux ce qui n'est qu'un jeu. Car en investissant son désir sur des objets qui ne peuvent pas le satisfaire, on se détourne du seul être qui pourrait le combler. Or pour le chrétien Pascal Seul Dieu peut combler mon attente ». Misère de l'homme sans Dieu, félicité de l'homme avec Dieu » écrit-il au début de la deuxième section des Pensées. La seule chose qui nous console de nos misères est le divertissement, et cependant c'est la plus grande de nos misères. Car c'est cela qui nous empêche principalement de songer à nous, et qui nous fait perdre insensiblement. Sans cela, nous serions dans l'ennui, et cet ennui nous pousserait à chercher le moyen le plus sûr d'en sortir. Mais le divertissement nous amuse, et nous fait arriver insensiblement à la mort » B. 171. Misérable divertissement donc, qui nous distrait de devoir penser lucidement et de nous préoccuper de notre salut. L'homme est visiblement fait pour penser ; c'est toute sa dignité et tout son mérite ; et tout son devoir est de penser comme il faut. Or l'ordre de la pensée est de commencer par soi, et par son auteur et sa fin » B. 146. Texte. Divertissement. — Quand je m’y suis mis quelquefois, à considérer les diverses agitations des hommes, et les périls et les peines où ils s’exposent, dans la cour, dans la guerre, d’où naissent tant de querelles, de passions, d’entreprises hardies et souvent mauvaises, etc., j’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre. Un homme qui a assez de bien pour vivre, s’il savait demeurer chez soi avec plaisir, n’en sortirait pas pour aller sur la mer ou au siège d’une place. On n’achètera une charge à l’armée si cher, que parce qu’on trouverait insupportable de ne bouger de la ville; et on ne recherche les conversations et les divertissements des jeux que parce qu’on ne peut demeurer chez soi avec plaisir. Mais quand j’ai pensé de plus près, et qu’après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs, j’ai voulu en découvrir la raison, j’ai trouvé qu’il y en a une bien effective, qui consiste dans le malheur naturel de notre condition faible et mortelle, et si misérable, que rien ne peut nous consoler, lorsque nous y pensons de près. Quelque condition qu’on se figure, si l’on assemble tous les biens qui peuvent nous appartenir, la royauté est le plus beau poste du monde, et cependant qu’on s’en imagine, accompagné de toutes les satisfactions qui peuvent le toucher. S’il est sans divertissement, et qu’on le laisse considérer et faire réflexion sur ce qu’il est, cette félicité, languissante ne le soutiendra point, il tombera par nécessité dans les vues qui le menacent, des révoltes qui peuvent arriver, et enfin de la mort et des maladies qui sont inévitables ; de sorte que, s’il est sans ce qu’on appelle divertissement, le voilà malheureux, et plus malheureux que le moindre de ses sujets, qui joue et se divertit. De là vient que le jeu et la conversation des femmes, la guerre, les grands emplois sont si recherchés. Ce n’est pas qu’il y ait en effet du bonheur, ni qu’on s’imagine que la vraie béatitude soit d’avoir l’argent qu’on peut gagner au jeu, ou dans le lièvre qu’on court on n’en voudrait pas s’il était offert. Ce n’est pas cet usage mol et paisible, et qui nous laisse penser à notre malheureuse condition, qu’on recherche, ni les dangers de la guerre, ni la peine des emplois, mais le tracas qui nous détourne d’y penser et nous divertit. Raison pourquoi on aime mieux la chasse que la prise. De là vient que les hommes aiment tant le bruit et le remuement ; de là vient que la prison est un supplice si horrible; de là vient que le plaisir de la solitude est une chose incompréhensible. Et c’est enfin le plus grand sujet de félicité de la condition des rois, de [ce] qu’on essaie sans cesse à les divertir et à leur procurer toutes sortes de plaisirs. Le roi est environné de gens qui ne pensent qu’à divertir le roi, et à l’empêcher de penser à lui. Car il est malheureux, tout roi qu’il est, s’il y pense. Voilà tout ce que les hommes ont pu inventer pour se rendre heureux. Et ceux qui font sur cela les philosophes, et qui croient que le monde est bien peu raisonnable de passer tout le jour à courir après un lièvre qu’ils ne voudraient pas avoir acheté, ne connaissent guère notre nature. Ce lièvre ne nous garantirait pas de la vue de la mort et des misères, mais la chasse — qui nous en détourne — nous en garantit. Le conseil qu’on donnait à Pyrrhus, de prendre le repos qu’il allait chercher par tant de fatigues, recevait bien des difficultés. [Dire à un homme qu’il vive en repos, c’est lui dire qu’il vive heureux; c’est lui conseiller d’avoir une condition tout heureuse et laquelle il puisse considérer à loisir, sans y trouver sujet d’affliction. Ce n’est donc pas entendre la nature. [Aussi les hommes qui sentent naturellement leur condition n’évitent rien tant que le repos, il n’y a rien qu’ils ne fassent pour chercher le trouble, Ce n’est pas qu’ils n’aient un instinct qui leur fait connaitre la vraie béatitude.... La vanité, le plaisir de la montrer aux autres. Ainsi on se prend mal pour les blâmer; leur faute n’est pas en ce qu’ils cherchent le tumulte, s’ils ne le cherchaient que comme un divertissement; mais le mal est qu’ils le recherchent comme si la possession des choses qu’ils recherchent les devait rendre véritablement heureux, et c’est en quoi on a raison d’accuser leur recherche de vanité; de sorte qu’en tout cela et ceux qui blâment et ceux qui sont blâmés n’entendent la véritable nature de l’homme.] Et ainsi, quand on leur reproche que ce qu’ils recherchent avec tant d’ardeur ne saurait les satisfaire, s’ils répondaient, comme ils devraient le faire s’ils y pensaient bien, qu’ils ne recherchent en cela qu’une occupation violente et impétueuse qui les détourne de penser à soi, et que c’est pour cela qu’ils se proposent un objet attirant qui les charme et les attire avec ardeur, ils laisseraient, leurs adversaires sans répartie. Mais ils ne répondent pas cela, parce qu’ils ne se connaissent pas eux-mêmes. Ils ne savent pas que ce n’est que la chasse, et non la prise qu’ils recherchent. [La danse il faut bien penser où l’on mettra ses pieds. - Le gentilhomme croit sincèrement que la chasse est un plaisir grand et un plaisir royal; mais le piqueur n’est pas de ce sentiment-là.] Ils s’imaginent que, s’ils avaient obtenu cette charge, ils se reposeraient ensuite avec plaisir, et ne sentent pas la nature insatiable de leur cupidité. Ils croient chercher sincèrement le repos, et ne cherchent en effet que l’agitation. Ils ont un instinct secret qui les porte à rechercher le divertissement et l’occupation au dehors, qui vient du ressentiment de leurs misères continuelles ; et ils ont un autre instinct secret, qui reste de la grandeur de notre première nature, qui leur fait connaître que le bonheur n’est en effet que dans le repos, et non pas dans le tumulte; et de ces deux instincts contraires, il se forme en eux un projet confus, qui se cache à leur vue dans le fond de leur âme, qui les porte à tendre au repos par l’agitation, et à se figurer toujours que la satisfaction qu’ils n’ont point leur arrivera, si, en surmontant quelques difficultés qu’ils envisagent, ils peuvent s’ouvrir par là la porte au repos. Ainsi s’écoule toute la vie. On cherche le repos en combattant quelques obstacles; et si on les a surmontés, le repos devient insupportable ; car, ou l’on pense aux misères qu’on a, ou à celles qui nous menacent. Et quand on se verrait même assez à l’abri de toutes parts, l’ennui, de son autorité privée, ne laisserait pas de sortir au fond du cœur, où il a des racines naturelles, et de remplir l’esprit de son venin. Ainsi l’homme est si malheureux, qu’il s’ennuierait même sans aucune cause d’ennui, par l’état propre de sa complexion; et il est si vain, qu’étant plein de mille causes essentielles d’ennui, la moindre chose, comme un billard et une balle qu’il pousse, suffise pour le divertir. Mais, direz-vous, quel objet a-t-il en tout cela? Celui de se vanter demain entre ses amis de ce qu’il a mieux joué qu’un autre. Ainsi, les autres suent dans leur cabinet pour montrer aux savants qu’ils ont résolu une question d’algèbre qu’on n’aurait pu trouver jusques ici; et tant d’autres s’exposent aux derniers périls pour se vanter ensuite d’une place qu’ils auront prise, et aussi sottement, à mon gré ; et enfin les autres se tuent pour remarquer toutes ces choses, non pas pour en devenir plus sages, mais seulement pour montrer qu’ils les savent, et ceux-là sont les plus sots de la bande, puisqu’ils le sont avec connaissance, au lieu qu’on l’on penser des autres qu’ils ne le seraient plus, s’ils avaient cette connaissance. Tel homme passe sa vie sans ennui, en jouant tous les jours peu de chose. Donnez-lui tous les matins l’argent qu’il peut gagner chaque jour, à la charge qu’il ne joue point vous le rendez malheureux. On dira peut-être que c’est qu’il recherche l’amusement du jeu, et non pas le gain. Faîtes-le donc jouer pour rien, il ne s’y échauffera pas et s’ennuiera. Ce n’est donc pas l’amusement seul qu’il recherche un amusement languissant et sans passion l’ennuiera. Il faut qu’il s’y échauffe et qu’il se pipe lui-même, en s’imaginant qu’il serait heureux de gagner ce qu’il ne voudrait pas qu’on lui donnât à condition de ne pas jouer, afin qu’il se forme un sujet de passion, et qu’il excite sur cela son désir, sa colère, sa crainte, pour l’objet qu’il s’est formé, comme les enfants qui s’effrayent du visage qu’ils ont barbouillé. D’où vient que cet homme, qui a perdu depuis peu de son fils unique, et qui, accablé de procès et de querelles, était ce matin si troublé, n’y pense plus maintenant? Ne vous en étonnez point il est tout occupé à voir par où passera ce sanglier que les chiens poursuivent avec tant d’ardeur depuis six heures, II n’en faut pas davantage. L’homme, quelque plein de tristesse qu’il soit, si on peut gagner sur lui de le faire entrer en quelque divertissement, le voilà heureux pendant ce temps-là; et l’homme, quelque heureux qu’il soit, s’il n’est diverti et occupé par quelque passion ou quelque amusement qui empêche l’ennui de se répandre, sera bientôt chagrin et malheureux. Sans divertissement, il n’y a point de joie, avec le divertissement il n’y a point de tristesse. Et c’est aussi ce qui forme le bonheur des personnes de grande condition, qu’ils ont un nombre de personnes qui les divertissent, et qu’ils ont le pouvoir de se maintenir dans cet état. Prenez-y garde. Qu’est-ce autre chose d’être surintendant, chancelier, premier président, sinon d’être en une condition où l’on a dès le matin un grand nombre de gens qui viennent de tous côtés pour ne leur laisser pas une heure en la journée où ils puissent penser à eux-mêmes ? Et quand ils sont dans la disgrâce et qu’on les renvoie à leurs maisons des champs, où ils ne manquent ni de biens, ni de domestiques pour les assister dans leur besoin, ils ne laissent pas d’être misérables et abandonnés, parce que personne ne mes empêche de penser à eux. » Pascal, Pensées, B 139. Précisions Tous les grands auteurs se reconnaissent à la création de nouveaux concepts ou à une manière originale d’en décliner d’autres qu’ils empruntent à leurs prédécesseurs. Ainsi en est-il de la notion de divertissement. Il s’agit d’un thème stoïcien renvoyant aussi bien à la vaine agitation qu’à la bienfaitrice diversion aux maux de l’existence. Dans les Tusculanes, IV, XXXV, Cicéron, par exemple, recommande la diversion comme thérapeutique des passions Il faut aussi parfois détourner son esprit vers d’autres goûts, d’autres inquiétudes, d’autres affaires ; souvent il faut ordonner un changement d’air comme on le fait aux malades qui ne reprennent pas leurs forces » Pléiade, Les stoïciens, p. 357. Dans De la tranquillité de l’âme, Sénèque écrit dans le chapitre intitulé Description et symptomatologie des variétés du mal […] enlevez-lui à l’âme les divertissements que fournissent par elles-mêmes les occupations à ceux qui courent dans tous les sens, elle ne peut supporter le chez soi, la solitude de ses quatre murs ; c’est de mauvaise grâce qu’elle se voit abandonnée à elle-même. De là cet ennui, ce mécontentement de soi, ce va-et-vient d’une âme qui ne se fixe nulle part, cette résignation triste et maussade à l’inaction, surtout lorsqu’elle a honte d’en avouer les motifs et que, par respect humain, elle s’inflige intérieurement ces tortures les passions enfermées à l’étroit et privées d’issue s’étranglent elles-mêmes. D’où la tristesse, la langueur, les mille fluctuations d’une âme incertaine, hésitante à entreprendre, mécontente d’abandonner, d’où l’état des gens qui détestent leur inaction, qui se plaignent de n’avoir rien à faire, leur jalousie qui les rend furieux des projets réalisés par les autres. L’oisiveté mécontente, en effet, entretient la bile ; l’on désire voir tout le monde échouer parce que l’on n’a pu réussir. De ce dépit des succès d’autrui, du manque d’espoir d’en remporter pour soi, naît en l’âme l’irritation contre le sort, les plaintes sur le siècle, le désir de se retirer dans son coin, elle couve sa propre peine dans le dégoût d’elle-même et l’insatisfaction. » Sénèque, De la tranquillité de l’âme, Les stoïciens, Pléiade, p. 665. Montaigne, que Pascal a beaucoup fréquenté au point de le connaître presque par cœur, consacre un chapitre des Essais à ce thème qu’il décline lui aussi dans des sens variés. La diversion, comme il l’appelle, est aussi bien un remède contre les maladies de l’âme, un paravent contre l’angoisse de la mort ou les diverses peurs terrorisant les hommes que la disposition d’un être ondoyant et divers ». Toujours la variation soulage, dissout et dissipe. Si je ne puis la combattre une aigre imagination, je lui échappe, et en la fuyant je fourvoie, je ruse ; muant de lieu, d’occupation, de compagnie, je me sauve dans la presse d’autres amusements et pensées, où elle perd ma trace et m’égare » écrit-il pour illustrer le premier sens et pour le second Peu de choses nous divertit et détourne, car peu de chose nous tient. Nous ne regardons guère les sujets en gros et seuls ; ce sont les circonstances ou des images menues et superficielles qui nous frappent et de vaines écorces qui rejaillissent des sujets » Essais, III, IV, Arléa, p. 645. L’originalité de Pascal, dans la reprise qu’il fait de ce thème, tient à la signification métaphysique qu’il confère au divertissement et aux présupposés théologiques de son analyse. Présupposés dont on fait volontiers l’économie dans une époque comme la nôtre où la question de Dieu n’est plus au centre des préoccupations humaines. Or je ne crois pas que le déchiffrement que Pascal fait de l’existence, du désir, du bonheur puisse être, sans appauvrissement de sa pensée, désolidarisé de ses convictions de chrétien. Car fondamentalement Pascal est un homme de foi et Les Pensées sont l’ébauche d’une apologie de la religion chrétienne. Son discours sur le néant existentiel de l’homme du divertissement n’est pas son dernier mot sur la nature de l’existence humaine. L’angoisse, la misère, l’absurde sont le propre de l’homme sans Dieu, du libertin, de l'incrédule, mais la vérité de la nature humaine est ailleurs. Elle se recueille dans notre première nature, celle dont nous avons gardé un instinct secret ». Avec l’idée d’un instinct, il indique clairement que c’est là une donnée universelle et constante. Par cet instinct nous avons une idée vraie de notre désir et de notre bonheur. Celui-ci est repos de la créature comblée dans l’union au vrai et au bien. Mais notre autre instinct, celui de la nature corrompue, subvertit cette tendance et remplit de son néant la trace vide en nous de l’être ou de Dieu. C'est dire que notre existence a un sens et que seule la religion chrétienne nous permet de le comprendre. La tragédie de l'absurde et de l'errance tient donc à la souveraineté du moi de concupiscence sur le moi de raison, thème que la théologie pascalienne décline aussi comme celui de la toute-puissance divine de la punition. Mais nous ne sommes pas condamnés à ce malheur. Certes nous avons besoin du secours de Dieu pour retrouver le vrai chemin de l’accomplissement de notre être dans le vrai ordre qui est l’amour de Dieu en lieu et place de l’amour de soi. Cependant il nous appartient de nous affranchir de l’empire de nos passions afin de nous disposer à recevoir la grâce divine en laquelle est notre salut. Partager Marqueursangoisse, Désir, ennui, existence, fête, jeu, misère, se détourner de, sérieux, travail
\n \n ce que je ne savais pas et vous non plus
ZmZb.
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